Merci de m’avoir adressé votre manuscrit. J’ai éprouvé beaucoup de plaisir à le lire. En particulier, le rôle que vous attribuez à la musique, véritable fil conducteur de votre récit, est très intéressant. Je ne peux évidemment que confirmer la définition qu’en donne le narrateur, lui qui affirme qu’elle est le seul élément qui l’invite à penser qu’il n’est pas dans un univers d’aliéné.
Elogieux, et mérité!
Avec ce brillant essai onirique et philosophique, Stéphane Bellocine nous emmène dans un univers ou il convie les muses, où la poésie et la musique deviennent les supports délicats d’une réflexion philosophique très élaborée sur le temps.